Le 29 Mai 2025, par Thomas Drouart
Quand les beaux jours pointent leur nez, que les températures grimpent et que l’on commence à planifier ses week-ends ensoleillés, une envie revient souvent : celle de rouler cheveux au vent, à bord d’un cabriolet. Symbole de liberté, de plaisir et d’insouciance estivale, ce type de véhicule attire autant les passionnés d’automobile que les amateurs de sensations simples. Mais si l’idée séduit, elle soulève aussi une réalité concrète : comment financer ce petit luxe ? Bonne nouvelle, il existe aujourd’hui des solutions accessibles pour s’offrir un cabriolet sans exploser son budget.
Rien ne remplace l’expérience de conduite d’un cabriolet lorsqu’arrivent les longues journées d’été. L’habitacle ouvert permet de profiter pleinement des paysages, de la lumière, des senteurs de la nature… Chaque trajet devient une parenthèse, un moment de liberté où le trajet compte plus que la destination. À vrai dire, on prend très vite goût à rouler cheveux au vent...
Ce n’est pas un hasard si les ventes de cabriolets enregistrent un pic chaque printemps. Qu’il s’agisse de s’évader le week-end, de longer la côte ou simplement de redonner du plaisir au quotidien, le cabriolet incarne une certaine philosophie de vie, plus libre, plus légère... On profite davantage de chaque moment, sans forcément chercher à rouler vite.
Acheter un cabriolet implique toutefois de réfléchir sérieusement à son budget. Les modèles neufs peuvent atteindre rapidement les 30 000 à 40 000 €, en particulier chez les marques premium. Mais l’occasion reste un terrain de chasse très intéressant : on trouve aujourd’hui des cabriolets récents autour de 12 000 à 20 000 €, en bon état et avec un kilométrage raisonnable.
Il faut aussi penser aux frais annexes : l’entretien, plus spécifique qu’un véhicule classique, notamment pour la capote ou les joints, ainsi qu’une assurance parfois un peu plus chère selon le modèle ou la puissance du moteur. Cela ne veut pas dire que le cabriolet est réservé à une élite, mais qu’un minimum d’anticipation est nécessaire pour éviter les mauvaises surprises.
Bien que certains optent pour un achat comptant ou pour une formule de leasing (LOA ou LLD), la solution la plus souple et la plus simple pour s’offrir un cabriolet reste souvent le prêt auto.
Ce type de financement permet d’acheter son véhicule en conservant sa capacité d’épargne et en étalant le coût sur plusieurs mois, voire plusieurs années. C’est particulièrement pertinent lorsqu’on souhaite s’offrir un véhicule plaisir, sans mettre à mal l’équilibre de son budget quotidien.
La Banque Populaire propose justement une offre de prêt pour acheter votre véhicule, qui s’adapte à vos besoins : taux fixe, mensualités ajustables, réponse rapide, et la possibilité de simuler votre projet directement en ligne. De quoi planifier sereinement votre achat avant même de vous rendre dans une concession, un garage ou même de commencer à parcourir les petites annonces sur des sites bien connus !
Ceux qui veulent limiter leur budget sans renoncer au plaisir peuvent se tourner vers le marché de l’occasion. De nombreux modèles y sont disponibles, souvent bien entretenus, pour des prix deux à trois fois inférieurs au neuf.
Un cabriolet d’occasion peut tout à fait être financé par un prêt auto classique. Là encore, les banques proposent des solutions simples et transparentes, même pour les véhicules de seconde main.
Seul impératif : bien vérifier l’état général du véhicule, en particulier celui de la capote (toile, fermeture, moteur de toit), et s’assurer du bon suivi d’entretien. Un hardtop, c'est jamais très beau mais c'est très pratique en hiver, tout en limitant le risque de dégradation
Le cabriolet est bien plus qu’un véhicule : c’est une invitation à profiter de l’instant, à savourer les petits plaisirs de la route, à vivre pleinement l’été. S’il représente un certain coût, il est loin d’être inaccessible. Avec un financement bien pensé, il devient possible de transformer une envie en réalité. Pourquoi attendre un été de plus ? Il suffit parfois d’un clic pour lancer son projet. Cet été, faites-vous plaisir. Et laissez le vent vous rappeler que certains rêves sont faits pour être réalisés.
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J'ai fondé PDLV à 13 ans, c'était il y a... Pas mal de temps ! Ma passion pour l'automobile n'a fait que s'intensifier. Depuis, ce blog a bien prospéré et nous permet de vivre notre passion à 100%. Mon pêché mignon ? Les Fiat Panda 100HP, les Porsche 911 Type G et les brochettes bœuf-fromage. Je m'intéresse à tout ce qui roule, même si mon allergie au diesel me rapproche bien souvent du pistolet vert. |
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| Thomas Drouart |