ApostropheOn fait peau neuve ! Découvrez notre nouveau site PDLV.frApostrophe
Home
Home

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Rouler dans un cabriolet décapoté en plein hiver, c'est à la fois une source de plaisir et de rhume. Justement, nous vous proposons d'embarquer à bord de l'Audi A5 de seconde génération, en cabriolet. Notre exemplaire d'essai arbore une jolie robe blanche et accueille le 4-cylindres TFSI de 190 chevaux. Un moteur essence ultra souple et qui convient plutôt bien à ce joli cab' ! Vivement cet été...


Fiche technique Audi A5 cabriolet TFSI 190

Caractéristiques
Dimensions 4,67 x 1,85 x 1,38 mètres
Poids 1 720 kg
Transmission Traction
Boîte de vitesse Séquentielle, 7 rapports
Commercialisation 2016 - 2018
Moteur
Type 4 cyl. en ligne turbo
Puissance 190 ch à 4 200 tr/m
Couple 320 Nm dès 1 450 tr/m
0 à 100 km/h 7,9 secondes
Vitesse max 237 km/h
Puissance fiscale 10 CV
Conso mixte 5,9 L/100 km
Prix du neuf
à partir de 59 570 € - modèle d'essai à XXXXX €

Essai vidéo de l'Audi A5 cabriolet TFSI 190

Une gueule sympathique... Mais sans surprise !

L'Audi A5, nous la connaissons tous. La marque aux anneaux a fait le pari, en 2007, de réaliser un joli coupé, à mi-chemin entre le gabarit d'une A4 et d'une A6. Le style est bien dans l'ère du temps, le succès est au rendez-vous. La seconde génération, commercialisée depuis 2016, améliore la recette. Le look se modernise, les moteurs évoluent et divers équipements intéressants font leur apparition.

Commençons par parler du look de notre modèle d'essai, une A5 cabriolet en finition Design Luxe. Une finition haute, intercalée entre la sportive S Line et la luxueuse Avus. Un rapide tour du propriétaire permet d'apprécier cette face avant entièrement revue. Je le confesse : je n'ai jamais été un grand fan de cet avant remanié, avec un capot ultra plongeant. Pourtant, face à la bête, le look passe finalement bien. Alors que l'Audi A5 première génération misait sur des lignes consensuelles, la seconde arbore un look plus sexy, jouant sur une ligne de caisse ascendante, un capot très plongeant et un profil assez british.

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Avec sa robe blanche, notre A5 cabriolet de mars 2018 n'est que plus élégante. Les reflets du soleil soulignent ses galbes et la rendent assez sexy. La finition Design Luxe de notre exemplaire est ici complétée par des jantes aluminium Style 15 de 19 pouces, avec plein de bâtons, qui accentuent le côté luxueux. Le profil permet de remarquer une canule à cheval sur les ailes et portières avant mais également la baie de pare-brise, en aluminium brossé. C'est très chic. D'autant plus que la capote en toile allège la ligne... sans la dénaturer !

Enfin, on notera des touches d'aluminium brossé à différents endroits de la carrosserie et de l'habitacle, ce qui renforce le côté chic de cette configuration. À l'arrière, un style bien connu, avec des feux biseautés, un fin bandeau pour marquer le décroché de la plaque d'immatriculation et deux sorties d'échappement de chaque côté du pare-choc. Que l'on soit ou non un fan d'Audi, on ne peut que reconnaître qu'il s'agit d'une bien belle voiture.

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Une gamme à la carte !

Chez Audi, l'A5 se conjugue en coupé ou cabriolet quatre places, mais également en version Sportback. Le cabriolet peut recevoir cinq finitions différentes, de la plus basique à l'Avus. Ici, nous avons le quatrième niveau de finition. Les personnalisations sont presque infinies, bien qu'elles touchent rapidement leurs limites en fonction de votre livret d'épargne. La configuration de notre exemplaire est davantage typé "luxe" que sportivité pure. Pour autant, l'A5 - qui est une simple traction - peut être configurée avec la transmission intégrale Quattro, avec le châssis Sport et potentiellement le Drive Select (choix du mode de conduite).

D'ailleurs, parlons rapidement de la palette de motorisations. Audi a changé la nomenclature de ces modèles peu de temps après la sortie de notre modèle d'essai. La gamme se concentrait autour de trois moteurs essence : le 1.4 TFSI de 150 chevaux et le 2.0 TFSI proposé avec 190 ou 252 chevaux. Seuls les deux plus puissants ont subsisté, dénommés 40 TFSI (190 chevaux) et 45 TFSI (252 chevaux dégonflés à 245). Du côté des mazouts, le 40 TDI délivre 190 chevaux et le 50 TDI atteint 286 chevaux. Pour plus de puissance, il faut s'orienter vers les Audi S5 et RS 5. Dans tous les cas, chacune de ces versions est exclusivement proposée avec la boîte séquentielle S Tronic à 7 rapports.

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Cheveux au vent l'hiver

Passons maintenant à bord de l'Audi A5 cabriolet Design Luxe. L'immense portière s'ouvre sur un intérieur de standing. Comme souvent chez Audi, ce n'est pas très coloré mais les finitions sont d'un haut niveau. Les sièges semi-baquets offrent un excellent maintien et sont réglables électriquement. En cuir et alcantara, ils sont réglables électriquement et permettent immédiatement de se sentir à son aise. Force de l'A5, il s'agit d'une quatre places. Fatalement, il y a un petit peu moins de places à l'arrière mais cela reste tout de même très convenable. Des adultes y tiendront sans difficulté. Quant au volume de coffre, il affiche 380 litres, soit la même contenance que celui d'une Volkswagen Golf VII ou Nissan Pulsar !

En option, notre exemplaire a reçu le volant Sport avec méplat, renforçant le côté sportif. La planche de bord est bien dessinée bien qu'assez sobre. Les touches d'aluminium brossé font écho à la carrosserie et cela marche bien ! On découvre également une large console centrale accueillant le sélecteur de la boîte S Tronic, un accoudoir abritant un chargeur à induction pour smartphone. Dessus, quelques commandes physiques subsistent même si le numérique prédomine. Contrairement aux gammes supérieures, il n'y a pas de touches piano mais cela n'empêche pas que l'ambiance à bord est plutôt chic. Le dessin des sièges y est pour beaucoup. Sur notre exemplaire, pas de folie, l'intérieur Milano est noir avec des surpiqures noires.

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Derrière le volant, point d'aiguilles, point de compte tour, mais bien l'Audi Virtual Cockpit. Ce dispositif prend la forme d'un écran sur lequel viennent s'articuler les compteurs, différentes informations et même le GPS. Cette interface est personnalisable. On repère aussi l'écran central, pas tactile, mais qui dispose de la technologie MMI touch. La molette de sélection dispose d'un revêtement tactile qui permet de "dessiner" les lettres en mode GPS, par exemple. Bref, c'est bien pensé et très high tech. Même si un temps d'adaptation est nécessaire. Par ailleurs, l'intégration de l'écran central aurait pu s'inscrire dans la continuit de la planche de bord, pour épurer davantage ce bel intérieur.

S'agissant d'un cabriolet, l'intérêt est donc d'ôter cette épaisse capote noire. Pour cela, une pression continue sur un bouton du bas de la console centrale permet d'activer le mécanisme. Aucun bruit suspect, tout est parfaitement coordonné. La manipulation est rapide et efficace : seulement 15 secondes. Là, on profite d'une visibilité largement meilleure, du plaisir de conduire cheveux au vent et du froid mayennais. Il ne manque qu'une seule chose pour rendre l'expérience encore plus séduisante : un filet anti-remous. Sans cela, le vent revient dans la nuque d'une manière assez désagréable. Pour 155 €, il est possible d'opter pour un chauffage à cet endroit.

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

La dotation de série varie fortement d'une finition à l'autre. Si nous partons sur la finition la plus basique - qui ne porte pas de nom spécifique - le niveau d'équipement est tout juste correct. Les phares au Xénon sont de série, les jantes en aluminium de 17 pouces, la climatisation automatique, les détecteurs de pluie et de luminosité et la sellerie mêlant cuir et simili-cuir. Une dotation qui fait l'impasse sur le Virtual Cockpit et qui s'habille de commandes assez disgracieuses sur la partie basse du tableau de bord. Bref, une incitation à passer aux finitions supérieures....

Demandant un effort de près de 11 000 €, la Design Luxe s'améliore très nettement, offrant la caméra de recul, le Virtual Cockpit, les jantes de 18 pouces ou encore les phares à LED. Sur ce point, chacun pourra donc trouver une configuration qui lui convient. Même si, les options étant assez onéreuses chez Audi, il est généralement préférable d'opter pour une finition supérieure. D'autant plus que le marché de l'occasion est assez peu favorable aux finitions d'entrée de gamme, notamment pour les modèles du triptyque allemand BMW-Audi-Mercedes. Le coût de revient de notre exemplaire d'essai était de 59 570 € hors options. Une palette de prix similaire à ce que l'on peut trouver en configurant une BMW Série 4 cabriolet ou bien une Mercedes Classe C découvrable.

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Un moteur volontaire... Mais trop rigoureux !

"Rigoureux", c'est vraiment le mot qui revient le plus souvent lorsque l'on évoque cette Audi A5. Elle ne souffre d'aucun défaut particulier et fait tout correctement. Parlons maintenant mécanique. Dans un premier temps, nous parlerons théorie puis pratique. Il s'agit donc de la version 40 TFSI ; un 4-cylindres essence de 2.0 litres délivrant 190 chevaux à 4 200 tr/m. Le couple, assez impressionnant, culmine à 320 Nm dès 1 450 tr/m. Donc forcément, les accélérations sont assez franches. Cette stricte traction avale le 0 à 100 km/h en 7,9 secondes. Les reprises sont également bonnes, couple aidant, ce qui fait que la conduite est très typée diesel, inutile de monter trop haut dans les tours pour avoir de la puissance.

Le châssis a été intégralement revu en passant de la première à la seconde génération d'Audi A5 cabriolet. Notre exemplaire dispose d'une rigidité améliorée de 40% et économise 40 kg en utilisant davantage d'aluminium. La masse totale reste toutefois très élevée, avec pas moins de 1 720 kg sur la balance. La boîte de vitesse séquentielle S Tronic à 7 rapports est correctement étagée bien que des à-coups soient perceptibles. Notre exemplaire disposant du Drive Select, il est possible de choisir entre quatre modes de conduite : Confort, Auto, Dynamic et Individual. En switchant d'un à l'autre, la boîte s'adapte. Il faut alors jongler entre les modes afin que la boîte comprenne le type de conduite et le moment le plus important pour grimper les rapports. Toutefois, il est possible de passer les rapports depuis les palettes - légèrement trop petites - placées derrière le volant, puis en basculant le sélecteur sur la droite.

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Toutefois, cette Audi A5 cabriolet TFSI 190 n'est pas vraiment une sportive. Elle est dynamique dans son comportement mais manque d'agilité, malgré un travail conséquent sur le châssis. Les reprises sont bonnes mais gare aux virages serrés puisqu'une tendance au sous-virage est perceptible. La boîte S Tronic est correctement étagée mais même en mode Dynamic, de petits à-coups sont perceptibles. Le châssis Sport, dont ne bénéficie pas notre exemplaire, améliore certainement le comportement. Toutefois, comme je l'ai souligné en vidéo, la configuration de cette A5 est clairement orientée sur le confort/luxe plutôt que sur les performances pures.

Les 190 chevaux font correctement le travail, assurant un dynamisme suffisant en toutes circonstances. D'ailleurs, on se plait davantage à rouler sagement, chevaux au vent, plutôt qu'à arsouiller. En conduite "normale", l'A5 semble posée sur des rails, gommant les aspérités de la route et offrant un sentiment de sécurité élevé. Les aides à la conduite (jusqu'à 30) n'y sont pas étrangères, n'hésitant pas à se déclencher dès que besoin. D'ailleurs, c'est quelque peu frustrant puisque tout élan de sportivité est automatiquement "corrigé". Le train avant semble très lourd, bien que la direction gomme cette sensation, c'est assez particulier. On appréciera toutefois le régulateur de vitesse ACC, capable de maintenir l'A5 droite sur route correctement balisée. Une voiture agréable à rouler donc.

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Un feeling à la fois frustrant et génial

Notre Audi A5 cabriolet cumule les qualités, se targuant même d'une consommation de 5,9 litres en cycle mixte. Là, on peut se demander ce que l'on pourrait lui reprocher, hormis un manque de dynamisme. Et c'est bien là le plus paradoxal. Face à tant de rigueur, cette A5 manque un peu d'âme, de caractère. Les montées en vitesse sont franches mais les sensations sont gommées par le gabarit, le poids et les nombreuses aides. Bien que cela soit un défaut à mes yeux, je n'ai aucun doute que beaucoup apprécieront ce comportement à la fois sécurisant et ultra confortable.

Quant à la consommation, elle est donnée pour 5,9 litres aux 100 kilomètres. Dans le cas de notre essai, nous avons cumulé différents types de parcours, à des rythmes variables et nous n'avons que très rarement dépassé une moyenne de 10 litres.

Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?
 

Nous avons soumis la Audi A5 cabriolet TFSI 190 à notre PDLVmètre, notre indice maison. Score : 55

  Niveau de satellisation Feeling Provocation d'acouphènes Nécessité de vendre un rein  
 
Indice 40
Indice 90
Indice 30
Indice 60
 
 
 
 
 

Équipement honnête
Confort
Place à bord

Délivre peu de sensations
Poids élevé
Quelques à-coups de la boîte
 
 
Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Audi A5 Design Luxe : équipements & options

Principaux équipements de série
Sellerie cuir Milano Phares à LED
Jantes aluminium 18 pouces Audi phone box
Caméra de recul MMI navigation avec MMI touch
Audi Virtual Cockpit Climatisation automatique trizones
Sièges avant réglables électriquement Applications décoratives en aluminium
Principales options
Peinture métallisée (1 060 €) Affichage tête haute (1 190 €)
Jantes aluminium Style 15 19" (1 150 €) Audi active lane assist (550 €)
Phares LED Matrix (855 €) Système de lecture des panneaux (370 €)
Volant sport avec méplat (140 €) Châssis Sport (410 €)
Chauffage de nuque (555 €) Bang & Olufsen 3D Sound (1 030 €)
Prix du neuf
à partir de 59 570 €
Audi A5 cabriolet TFSI 190 : une décapotable trop parfaite ?

Faut-il acheter une Audi A5 cabriolet ?

Assurément, l'Audi A5 cabriolet de deuxième génération est une voiture bien née. Il faut toutefois avoir conscience de ce que l'on achète. Un tel exemplaire s'apprécie pour son confort, sa finition rigoureuse et la possibilité de voyager en famille cheveux au vent. Il ne s'agit aucunement d'un modèle sportif même si le comportement reste dynamique et qu'il est possible de dépasser sereinement. Les reprises sont dans la bonne moyenne et il ne faut pas hésiter à jouer avec les modes de conduite du Drive Select pour limiter les à-coups de la boîte S Tronic. Au final, un grand cabriolet très agréable à conduire et à vivre.


Merci à Audi Laval Premium Automobiles pour le prêt de cette belle A5, à Lorenzo Dalibard pour ses prises de vue et Emilien Le Borgne, du blog Mininches, pour l'essai du prototype Tsé-Tsé, à l'Estaca.

Le look est chic, avec une ligne de caisse bien dessinée. Notre exemplaire dispose de la finition Design Luxe.

Le look est chic, avec une ligne de caisse bien dessinée. Notre exemplaire dispose de la finition Design Luxe.

Les flancs sont bien marqués, tout comme le capot, très nervuré.

Les flancs sont bien marqués, tout comme le capot, très nervuré.

Seuls les moteurs essence 40 TFSI (190 chevaux) et 45 TFSI (245 chevaux) sont proposés. Au delà, il faut passer sur les versions S5 ou RS 5.

Seuls les moteurs essence 40 TFSI (190 chevaux) et 45 TFSI (245 chevaux) sont proposés. Au delà, il faut passer sur les versions S5 ou RS 5.

La boîte S Tronic à 7 rapports est globalement bien étagée même s'il convient de jouer parmi les modes du Drive Select pour éviter les à-coups.

La boîte S Tronic à 7 rapports est globalement bien étagée même s'il convient de jouer parmi les modes du Drive Select pour éviter les à-coups.

Diverses touches d'aluminium brossé sont présentes sur la carrosserie, notamment sur les montants de pare-brise.

Diverses touches d'aluminium brossé sont présentes sur la carrosserie, notamment sur les montants de pare-brise.

Les phares à LED ont un design très réussi. Notons qu'il ne s'agit pas ici des phares Matrix.

Les phares à LED ont un design très réussi. Notons qu'il ne s'agit pas ici des phares Matrix.

Les jantes de 19 pouces sont optionnelles sur la finition Design Luxe. De série, c'est du 18 pouces.

Les jantes de 19 pouces sont optionnelles sur la finition Design Luxe. De série, c'est du 18 pouces.

L'intérieur est accueillant et très confortable, on s'y sent de suite bien.

L'intérieur est accueillant et très confortable, on s'y sent de suite bien.

À bord, pas de fantaisie mais beaucoup de rigueur. La caméra de recul est de série sur cette finition.

À bord, pas de fantaisie mais beaucoup de rigueur. La caméra de recul est de série sur cette finition.

Les places arrière sont relativement accueillantes. Le confort y est aussi bon qu'à l'avant.

Les places arrière sont relativement accueillantes. Le confort y est aussi bon qu'à l'avant.

Le cul est bien dessiné, avec un semblant de diffuseur et deux vraies sorties d'échappement.

Le cul est bien dessiné, avec un semblant de diffuseur et deux vraies sorties d'échappement.

Le TFSI 190 convient bien à l'A5 même s'il n'en fait pas un foudre de guerre.

Le TFSI 190 convient bien à l'A5 même s'il n'en fait pas un foudre de guerre.

Partager cet article

Suivez-nous !

Facebook TwitterInstagram Youtube
Fiat Panda 100HP PDLV
 

J'ai fondé PDLV à 13 ans, c'était il y a... Pas mal de temps ! Ma passion pour l'automobile n'a fait que s'intensifier. Depuis, ce blog a bien prospéré et nous permet de vivre notre passion à 100%. Mon pêché mignon ? Les Fiat Panda 100HP, les Porsche 911 Type G et les brochettes bœuf-fromage. Je m'intéresse à tout ce qui roule, même si mon allergie au diesel me rapproche bien souvent du pistolet vert.

Découvrez la team PDLV

 
Thomas Drouart

Partager cet article