Le 9 Février 2018, par Thomas Drouart
Après avoir remis au goût du jour des Renault de la belle époque, nous nous sommes attelés à redonner vie à des Peugeot très désirables, qui ont malheureusement disparu du catalogue. Faîtes votre choix !
En plus d'être un célèbre court de tennis, Roland Garros a été la finition haut de gamme de Peugeot. Cuir blanc tape-à-l'œil, peinture vert foncé spécifique, finitions choyés, c'était la grande classe. Peugeot a bien tenté de réitérer l'expérience, mais avec un degré de timidité à pleurer. Revenons aux sources avec une 108 Roland Garros bien équipée, avec de moelleux sièges en cuir blanc.
La Peugeot 205 GTI Griffe, c'est un véritable bijou. Personne ne sait véritablement si la peinture oscille davantage vers le bleu ou le vert. C'est un débat aussi virulent que l'affrontement pain au chocolat/chocolatine (même si tout le monde sait que la réponse est pain au chocolat). Dans tous les cas, le retour de cette version sur la 208 GTI mettra probablement tout le monde d'accord.
Dans les années '80, Peugeot s'est essayé à des exercices sur l'aérodynamique avec pour objectif d'abaisser les consommations. Des 305 et 309 ont ainsi été modifiées pour parfaire leur consommation. Au programme, des livrées assez particulières avec des enjoliveurs plein, un spoiler de coffre, un renflement des ailes avant ou encore des déflecteurs de vitres qui rendraient jaloux votre voisin Victor.
Pour homologuer la 206 en rallye, la marque au lion a du faire un choix. Ainsi, la 206 GT, dont chaque exemplaire est numéroté, dispose de pare-chocs avant et arrière plus proéminents. C'est moche mais collector et les prix de ces appendices sont même assez élevés sur le marché de l'occasion. Alors pourquoi ne pas revivre cela avec la 208 GT ?
Ceux qui aiment les petites sportives légères mais toniques apprécieront la 108 Rallye. En virant le superflu puis en lui restituant la décoration PTS et les jantes tole blanches, le succès serait au rendez-vous. Allez Carlos, fais-nous plaisir !
Il a existé une époque où le tour de France n'était pas qu'une accumulation de vélos et de Skoda rouges sérigraphiées. 14 Peugeot 203 ont ainsi été débarrassées de leur toit et de leur portières en 1955. Pourquoi ne pas faire un remake ? Cela plairait aux nostalgiques et cela ferait moins mal aux yeux qu'une voiture rouge en plein soleil.
Supprimé de la gamme Peugeot, le RCZ était quand même une sacrée belle voiture, avec son toit à double bosselage. Un retour n'est pas au programme mais il est toujours sympa de rêver d'un hypothétique retour pour concurrencer Alpine.
En 1965, Peugeot croit dur comme fer au diesel. Il réalise pour l'occasion un prototype sur base de 404. L'habitacle est alors entièrement réaménagé puisque seul la cellule du côté gauche est maintenue, avec une unique portière, à la manière d'un camion porte-fer. Un remake de ce modèle n'aurait absolument aucun sens puisque le diesel se meurt.
Il fut une époque pas si lointaine où certaines voitures étaient dépouillées de tout équipement de confort. Les Peugeot 205 notamment, ont longtemps eu qu'un seul rétroviseur, un essuie-glace arrière optionnel ou encore pas d'appuie-têtes. Il y a pire : les Ferrari F40 n'ont même pas de poignées de porte, juste une vulgaire sangle. Une version d'appel de la 208 pourrait toucher un public assez mince.
Et pourquoi pas ?
J'ai fondé PDLV à 13 ans, c'était il y a... Pas mal de temps ! Ma passion pour l'automobile n'a fait que s'intensifier. Depuis, ce blog a bien prospéré et nous permet de vivre notre passion à 100%. Mon pêché mignon ? Les Fiat Panda 100HP, les Porsche 911 Type G et les brochettes bœuf-fromage. Je m'intéresse à tout ce qui roule, même si mon allergie au diesel me rapproche bien souvent du pistolet vert. |
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Thomas Drouart |