Le saviez-vous ? #31

Dans ce nouveau numéro, nous partirons à la découverte d'une insolite voiture à trois roues développée dans les années '70, nous verrons également l'origine du système d'immatriculation et nous parlerons d'une version sportive oubliée de la Peugeot 306.

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Un tricycle intemporel !

En couverture de cet article, nous découvrons un insolite tricycle. Il s'agit d'une TriVette, un véhicule conçu en 1974 pour pallier à la crise financière qui touche les États-Unis. L'objectif était alors de réduire au maximum le coût d'utilisation d'une voiture. Basée sur un petit moteur Fiat, la TriVette a obtenu l'homologation sur route, grâce à un faible risque de retournement. Depuis, les TriVette n'ont jamais été arrêtées. En 1993, un prototype de 700 chevaux vit le jour, offrant des accélérations fulgurantes. Malgré la disparition de Bob Keyes, son créateur, les TriVette sont toujours produites, de manière confidentielle, avec des moteurs Honda, Volkswagen ou Ford.

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Un prototype tombé dans l'oubli

La Roumanie s'apprêtant à rentrer dans l'Union européenne, Dacia en profite pour vouloir renouveler sa gamme et ainsi toucher l'international. La marque réalise la Dacia D33, un prototype d'une voiture au design plus moderne destiné à remplacer les Nova et SuperNova. Le rachat par Renault condamnera définitivement cette amorce, laissant la place à la Dacia Logan, plus moderne de conception et constituant une offre low-cost attractive.

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Berline ou SUV ? À vous de voir...

Si je vous parle de Suzuki SX4, vous penserez certainement à ce petit SUV compact développé par la marque japonaise depuis 2006. Mais saviez-vous que certains marchés avaient une deuxième carrosserie au choix ; celle d'une berline. Enfin pas vraiment car la Suzuki SX4 Sedan conserve sa garde au sol surélevée et la possibilité d'une transmission intégrale. UN modèle très original qui ne fut pas reconduit.

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L'origine des plaques d'immatriculation

C'est à Lyon, dans le parc de la Tête d'Or, qu'un système d'immatriculation vit le jour pour la première fois. C'était en 1891. Face à des accidents fréquents, il devenait difficile d'identifier les responsables, d'autant que l'automobile était alors en plein essor. Il fut finalement décidé que tout véhicule entrant dans ce parc devait porter une plaque. Étendu à la ville de Lyon, le système fut ensuite adopté... Partout dans le monde !

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La 305 et sa descendance

Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, la descendante de la Peugeot 305 aurait logiquement dû être la 306. En fait, ce n'est ni la 306, ni même la Peugeot 309, sortie en 1985. Il s'agit de la Peugeot 405. Pour affirmer sa montée en gamme, Peugeot a opté pour un changement de série. Quant à la Peugeot 404, elle ne fut pas remplacée par la 405... Mais par la 504 !

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Dans l'ombre de la 306 S16

Oubliée, la Peugeot 306 XSI était une version sportive de la compacte française. Elle était une sorte de 306 S16 plus sage. Sa mécanique était un moteur 2.0 litres développant 123 puis 135 chevaux. Richement équipée et portant des semi-baquets en velours sur les premières séries, elle est restée dans l'ombre de sa grande sœur, plus démonstrative mais aussi plus répandue.

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Le V6 PRV... n'était pas un V6 à l'origine !

Réputé pour son implantation sous le capot de Renault, Peugeot et Volvo, le V6 PRV fut également choisi par John DeLorean pour prendre place sous le capot de la DMC-12. À l'origine, en 1969, ce moteur devait être décliné en deux versions : un V6 et un V8. Finalement, crise oblige, seul le premier fut développé. Les moteurs PRV équipèrent des voitures de série jusqu'en 1998.

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5 portes pour tout le monde !

La première génération de Peugeot 308, vendue dès 2007, a été proposée en carrosserie 3 et 5 portes. La première des deux eut un succès bien mitigé. Plaisant aux entreprises, elle ne connut qu'un engouement limité auprès des particuliers. En 2010, décision fut prise de stopper définitivement cette carrosserie. La version GTI, arrivée en début d'année 2011, lors du restylage, a donc été basée sur la version 5 portes.

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Un van sur base de Panda

Emelba est un carrossier espagnol à qui l'on doit de nombreuses transformations sur base de modèles Seat. L'un d'eux est l'Emelba Chato, de 1982, un petit base basé sur la Panda de Seat (appelée Marbella en France). Il fut décliné en utilitaire, monospace, pick-up, ambulance et même véhicule de police. Il fut relooké en 1985 et renommé Emelba 903 pour l'occasion.

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Non, pas de surtaxe pour les autos rouges !

Des rumeurs prétendent que les voitures colorées paient plus cher d'assurance que les voitures grises, noires ou blanches. C'est plus particulièrement le cas des voitures rouges. Sauf qu'en fait, c'est totalement faux ! La couleur d'une voiture n'entre pas dans le calcul de la prime d'assurance !